A la mi-mai, on euromanifeste !
Partout en Europe le chômage explose, le travail précaire et la pauvreté se répandent, le pouvoir d’achat diminue, la dette publique augmente.
La crise est profonde, l’économie est en récession. Des grandes entreprises, prenant prétexte des difficultés, en profitent pour se restructurer en profondeur.
Les gouvernements offrent des milliards aux banques et à certaines entreprises sans véritable contrepartie. En revanche, des grands patrons, des actionnaires, continuent à percevoir des rémunérations scandaleusement élevées.
Face à cela, se développe en France un mouvement social sans précédent, mais également des mouvements de protestation dans de plus en plus de pays européens.
La Confédération Européenne des Syndicats (CES) lance une campagne de mobilisation pour obtenir un « nouveau Deal social en Europe » pour :
=> « un vaste programme de relance destiné à offrir des emplois plus nombreux et de meilleure qualité, à protéger l’emploi dans les industries clés, à investir dans de nouvelles technologies durables et à préserver les services publics essentiels ;
=> « de meilleurs salaires et de meilleures retraites, des états providence plus forts, des avantages plus élevés afin de protéger le pouvoir d’achat et des droits de participation efficace destinés à stimuler les économies ;
=> « mettre fin aux récentes décisions de la Cour de Justice européenne favorisant la liberté de marché par rapport aux droits fondamentaux et aux conventions collectives en confirmant les objectifs sociaux du marché intérieur, et en garantissant l’égalité de traitement et l’égalité de salaires pour les travailleurs migrants « détachés » ;
=> « une réglementation efficace des marchés financiers, une distribution équitable des richesses. Nous ne voulons pas voir de retour du capitalisme casino ou des habitudes prises ces vingt dernières années sur les marchés financiers ;
=> « une Banque centrale européenne attachée à la croissance et au plein emploi et pas simplement à la stabilité des prix. »
Quatre Euromanifestations scandent cette campagne :
* 14 mai à Madrid
* 15 mai à Bruxelles
* 16 mai à Berlin
* 16 mai à Prague
La CGT s’inscrit dans cette action. Elle sera présente à Bruxelles et à Madrid.
La crise c’est eux, la solution c’est nous.
Faisons converger les exigences et revendications qui s’expriment en France avec celles des salariés des autres pays européens.
La crise est profonde, l’économie est en récession. Des grandes entreprises, prenant prétexte des difficultés, en profitent pour se restructurer en profondeur.
Les gouvernements offrent des milliards aux banques et à certaines entreprises sans véritable contrepartie. En revanche, des grands patrons, des actionnaires, continuent à percevoir des rémunérations scandaleusement élevées.
Face à cela, se développe en France un mouvement social sans précédent, mais également des mouvements de protestation dans de plus en plus de pays européens.
La Confédération Européenne des Syndicats (CES) lance une campagne de mobilisation pour obtenir un « nouveau Deal social en Europe » pour :
=> « un vaste programme de relance destiné à offrir des emplois plus nombreux et de meilleure qualité, à protéger l’emploi dans les industries clés, à investir dans de nouvelles technologies durables et à préserver les services publics essentiels ;
=> « de meilleurs salaires et de meilleures retraites, des états providence plus forts, des avantages plus élevés afin de protéger le pouvoir d’achat et des droits de participation efficace destinés à stimuler les économies ;
=> « mettre fin aux récentes décisions de la Cour de Justice européenne favorisant la liberté de marché par rapport aux droits fondamentaux et aux conventions collectives en confirmant les objectifs sociaux du marché intérieur, et en garantissant l’égalité de traitement et l’égalité de salaires pour les travailleurs migrants « détachés » ;
=> « une réglementation efficace des marchés financiers, une distribution équitable des richesses. Nous ne voulons pas voir de retour du capitalisme casino ou des habitudes prises ces vingt dernières années sur les marchés financiers ;
=> « une Banque centrale européenne attachée à la croissance et au plein emploi et pas simplement à la stabilité des prix. »
Quatre Euromanifestations scandent cette campagne :
* 14 mai à Madrid
* 15 mai à Bruxelles
* 16 mai à Berlin
* 16 mai à Prague
La CGT s’inscrit dans cette action. Elle sera présente à Bruxelles et à Madrid.
La crise c’est eux, la solution c’est nous.
Faisons converger les exigences et revendications qui s’expriment en France avec celles des salariés des autres pays européens.